Kara Yozora

Nom : Peu de temps avant sa naissance, ses parents se concertèrent durant un petit moment car, même s’ils avaient un enfant un deux, les jeunes personnes n’étaient pas mariés ni liés par un quelconque serment si ce n’est celui de l’amour. La question n’était autre que celle-ci : quel nom porterait-elle ? Celui du côté maternel ou celui du côté paternel, ils hésitaient tous les deux, incertains sur l’attitude à adopter pour ne point blesser l’autre. Ils avaient confiance l’un dans l’autre mais leur amour n’avait d’égale que leur peur de se perdre l’un l’autre aussi eurent-ils du mal à se décider. Finalement, après une nuit entière de discussion ils finirent par se mettre d’accord lorsque l’aube fut venue : l’enfant aurait les deux noms, non pas séparés mais combinés. Cela donnait peu de temps le nom de Yozora qui signifie « ciel nocturne » un nom de famille particulier pour le fruit de leur amour.
Prénom : La recherche du prénom fut à l’identique que celle du nom de famille : ils se concertèrent pendant x temps, ne sachant pas réellement ce que l’autre pensait et puis, connaissant le sexe de leur enfant, ils n’eurent pas trop de difficulté à se décider. A vrai dire, ils ne décidèrent pas vraiment, ils exposèrent chacun un prénom et se mirent d’accord pour offrir leur choix lors de la naissance de l’enfant. Celle-ci arriva enfin, avec un sourire il prononcèrent le prénom à l’unisson, le regard brillant et un sourire aux lèvres, leur amour présent dans chaque petit frémissement de leur corps : Kaya vint alors au monde.
Surnom : Aucun surnom ne lui fut donné durant son enfant jusqu’à son adolescent, du moins pas en temps que jeune fille, en temps qu’assassin elle est plus connue sous le nom de la Rose de Sang pour la bonne raison qu’à chacun des meurtres dont elle fut l’auteur, une rose d’un noir de nuit se trouvait sur le cadavre ensanglanté, lors du premier meurtre, la personne qui le découvrit prit la rose entre ses mains pour l’analyser, la trouvant belle, d’une magnifique beauté tant que le noir semblait absorber la lumière qui semblait la frôler mais ne pas la toucher. Cette personne relâchait bien vite la fleur avec l’horrifiante impression de mort et alors se rendait compte que ses mains étaient maculées de sang, du sang de la victime. Un moyen efficace pour accuser quelqu’un d’autre de ses méfaits même s’il ne s’agissait pas de la véritable intention.
Age et date de naissance : La conception d’âge est loin de l’atteindre réellement car le peu de personne qu’elle eut rencontré et avec qui elle aurait eut, vraisemblablement, une conversation ne s’est pas intéressé à son âge, trop incertain, trop hésitant. En effet son âge reste très incertain car dans le seul œil visible apparaît une étonnante sagesse, un calme qui apaise l’âme mais également un calme mortel. Ainsi, ses yeux la font paraître comme étant une jeune femme assez âgée, cependant sa peau d’une douceur fascinante fait penser à une adolescente, presque à la peau de pêche d’un nourrisson tandis qu sa manière de se vêtir fait plus penser à une adolescente, ainsi, sa tranche d’âge est difficile à découvrir. Néanmoins, il semblerait que Kaya ait une vingtaine d’années, la balance penche plus vers le vingt qu’autre chose tandis que sa date de naissance survint un vingt cinq décembre.
Sexe et sexualité : Le sexe de cette jeune femme n’est vraiment pas difficile à deviner puisque je viens de l’indiquer précédemment. D’ailleurs les personnes la voyant passer ne peut douter de son appartenance à la gente féminine, ses traits fins, les courbes de son corps, tout cela l’atteste, le hurle et personne, jusque là, n’a jamais douté de cette affirmation qui est d’ailleurs plus que cela : c’est une vérité. Pour sa sexualité, celle-ci reste plus compliquée à déterminer. Généralement, elle se tourne plus vers les hommes, cependant le doute persiste pour une raison ou pour une autre. Bisexuelle ? Hétérosexuelle ? C’est vraiment difficile à dire c’est pourquoi l’observer reste la meilleure solution néanmoins, même avec cela c’est difficile à dire. Cependant, il semblerait bien qu’elle soit Hétérosexuelle, un bonheur pour les hommes probablement, même si cela reste particulièrement difficile de l’approcher.

Famille : Morts dès la naissance de l’adolescente, ses parents ne sont plus qu’un souvenir brouillé et inexistant dans son esprit quelque peu vide, ainsi, tout ce qui pouvait faire que le bonheur existerait dans sa petite vie fut réduit à néant et leur corps à l’état de simple bouillie de chair, d’amas d’os et d’un liquide écarlate que l’on nomme plus communément : sang. Ses parents se nommaient respectivement Aurora et Yoru. S’ils avaient eut, auparavant, un garçon ou une autre fille, elle n’en sait strictement rien et pour être sincère elle s’en contre-fiche royalement c’est pourquoi l’existence d’un grand frère ou d’une grande sœur reste probable. Si l’existence d’une grand-mère, d’un grand-père, d’un oncle ou d’une tante était probable, peut-être ressentirait-elle une pointe d’affection pour ses ancêtres mais elle ne se foulera sûrement pas pour les retrouver, sa petite vie lui plaît et puis, si un jour elle venait à les rencontrer alors elle penserait que le hasard faisait bien les choses même s’il avait un remarquable train de retard.
Métier : Etant une jeune fille ayant eut une double instruction, cette personne possède donc un double métier qui peuvent se rapprocher sans vraiment se toucher. Son maître lui enseigna l’art de l’espionnage, passer inaperçu est alors devenu un talent inné pour l’adolescente qui pourrais se glisser dans une pièce bondée de personne attentive et sur leur garde sans être remarquée, elle pourrait passer devant les yeux d’une personne et cette dernière oublierait bien vite son existence pour la simple et bonne raison que, même si son physique avantageux ne lui permettrait pas en temps normal, elle affiche généralement une expression banale qui fait que les gens ne la remarquent pas. Ainsi, espionne peut être sa profession sans qu’elle n’aie besoin d’un quelconque entraînement puisqu’elle a déjà suivit ce dernier à la lettre et sans broncher. Ensuite, sa seconde profession n’est autre que l’assassinat, une chose dans laquelle on ne pourrait faire mieux si ce n’est elle, enfin, c’est ainsi que pensait son maître avant qu’elle ne le tue, juste pour expérimenter. Ainsi, étant discrète, elle excelle donc dans cette profession autant sanglante que rapide et efficace. Kaya fait toujours en sorte d’effrayer ses « proies » comme elle aime à les qualifier : plus amusant de les voir courir à travers les pièces pour échapper à une mort qu’ils sont pourtant certains d’obtenir. Son arme favorite est d’autant plus efficace qu’elle fut construite de sa main et donc les personnes chargés de « l’enquête » sont toujours au même niveau, ne connaissant l’arme, ils ne peuvent pas déduire qui est le tueur et puis, comme elle ne laisse jamais rien, elle est d’une redoutable efficacité. Ainsi, étant autant tueuse qu’espionne, elle signe toujours ses méfaits d’une rose dont le cœur est remplit de sang, celui de la victime, alors, la personne prenant la rose entre ses doigts, se retrouve avec le sang du cadavre sur les mains : une façon radicale d’affecter son crime à une autre personne, innocente de surcroît. Finalement, après réflexion, elle n’est pas que cela, pour dissimuler ses travaux nocturnes, elle joue également du piano et pour tout dire elle possède une renommée qui peut aisément faire le tour de cette terre car elle est particulièrement douée et les amateurs et amatrices de cet instrument s’arrachent les places ou plutôt se précipitent dès qu’elle offre un spectacle. Etonnement, tous ses morceaux ne sont pas empreints d’une tristesse sans limite, non, certains d’entre eux exprime un certain espoir, une certaine joie de vivre, les gens ne connaissent pas son histoire puisqu’elle reste inconnue pour toute personne sauf elle-même néanmoins il semblerait que certains d’entre ses « admirateurs » parviennent plus ou moins à relater sa vie au travers de ses morceaux. Bien évidemment, ce qu’ils racontent n’est que pur mensonge, mais bon, c’est ainsi et non autrement. Donc, elle travaille dans trois domaines…
Arme : Son arme, une question particulièrement intéressante surtout lorsque l’on sait que ce fut elle-même qui la forgea de ses mains habiles et expertes. Le tout est fait dans un acier dis inoxydable et d’une incroyable résistance malgré les parties fines de certains endroits. Il s’agit d’une arme dont le début commence au niveau du poignet en une large plaque d’acier qui entoure tout l’avant bras, collé à la peau de manière à ce qu’il soit impossible de le retirer tant qu’on ne s’appelle pas Kaya Yozora. Arrivé à la base de sa main, l’objet se divise en cinq tiges toujours du même métal, arrivé au niveau de la base des doigts, l’objet entoure ce dernier d’une fine plaque de métal articulée de telle manière que les mouvements ne soient nullement gênés, enfin, sur le bout des doigts, là où débute l’ongle, l’acier prend alors la forme d’une grande griffe courbée à la manière d’une griffe de félin. Les griffes sont suffisamment renforcé pour la simple et bonne raison qu’elles sont composées de plusieurs couches d’acier renforcé, elles sont tellement aiguisées et coupantes pour pouvoir couper une majorité des matériaux existant sur cette terre. Elle s’en sert avec la même efficacité qu’une personne maniant un couteau depuis son enfance, ces griffes font parties d’elle et il est rare de la voir les ôter, cela n’est quasiment jamais arrivé depuis leur conception.

Hobbies : Il est difficile de déterminer ne serait-ce qu’un seul hobbies chez cette « charmante » demoiselle. Il est vrai qu’une fois la nuit tombée, elle aime à se balader librement dans n’importe quel milieu que ce soit, urbain ou rural, en forêt comme en ville. Cela ne la gêne pas, elle apprécie tout bêtement le vent venant se glisser dans ses cheveux et caresser son visage avec cette unique douceur qui fait que, soudainement, elle ne se sent plus seule ni délaissée, elle aime s’asseoir sur le toit d’une maison ne lui appartenant pas, les genoux regroupés contre sa poitrine et ses bras les entourant, son menton posé sur ses genoux, le regard levé vers le ciel nocturne baigné de la lumière de la lune et éclairé par quelques petites lumières dans le ciel, oui, elle aie faire cela, il s’agit d’un de ses hobbies, étrange mais particulièrement apaisant, surtout pour elle. Elle possède un tout autre hobbies, contrairement à toutes attentes il ne s’agit pas du meurtre, ni rien de cela, étant particulièrement attirée par la nature, son autre hobbies n’est autre que rester assise devant une rivière par exemple à observer le lit de l’eau, regarder les petites gouttes qui s’envolent, les pierres qui roulent sous la force de l’eau. Tout élément naturel qui puisse susciter ne serait-ce qu’un petit peu d’attention lui suffirait amplement, par exemple, assise sur une branche elle pourrait passer un long, très long moment à observer un simple oiseau chanter. C’est ainsi qu’elle se divertit le mieux, ensuite, pour le reste, c’est autre chose. Il n’y a pas seulement ça, jouer du piano fait également partit de ses hobbies puisqu’il s’agit là de l’unique chose capable de la rasséréner totalement, les notes de musique qu’elle en tire sont comme un son de cristal que l’on tire avec une extrême douceur et toute personne l’écoutant jouer sont alors plongés dans une sorte de transe tant elle joue bien car ce n’est pas pour faire plaisir aux autres qu’elle fait cela mais pour se contenter elle-même car rien n’égal l’état dans lequel cet instrument la met, la nature s’en rapproche mais c’est autre chose…
Aime : Cette jeune femme aime différentes choses assez basiques je dois dire, en faite, comme ses hobbies l’indiquent, elle aime la nature au point d’en faire ce qu’elle préfère faire par dessus tout c’est donc une des choses qu’elle aime tout particulièrement : la nature. Oh, bien évidemment, il n’y a pas que cela, Kaya aime tout ce qui ressemble de près ou de loin à un félin, lion, tigre, panthère noire et autre lui plaisent de telle manière que lorsqu’elle était enfant elle prétendait qu’un jour elle possèderait une maison où elle réunirait deux de chacune des races. Elle les aime beaucoup à cause de leur grâce naturelle, de l’élégance de leur pelage, de leur yeux d’une beauté sans pareille, elle les aime vraiment beaucoup, son maître prétendait qu’elle les vénérait et que si un jour un dieu venait à être ne serait-ce qu’en partie félin, elle en ferait son maître absolu.

Lorsqu’il avait prétendu cela, elle s’était presque aussitôt indigné et avait répliqué avec force caractère qu’il mentait, qu’elle n’aurait jamais de maître et que personne ne parviendrait à la dompter. Ce jour là, il l’avait regardé étrangement, lui demandant alors, pourquoi elle l’appelait « maître », d’une voix sans égale elle lui répliqua que c’était ce qu’il voulait et qu’elle lui offrait tout simplement. Elle aime également les roses, rouges, noires ou d’une autre couleur elle s’en contre fiche : elle les adore, pour elle, elles sont sa représentation, elles sont belles comme le jour et tellement dangereuse l’air de rien, comme une enfant armée d’une poignard, l’innocence dans le regard et le diable au corps. Ce qu’elle aime également et qui semble normal quand à certaines de ses « profession », elle aime voir le sang couler. Ce liquide écarlate se répandant délicatement sur le dallage froid d’une maison, ce liquide de vie venant tâcher telle ou telle chose, oui, elle en raffole et pourtant cela ne lui est en rien nécessaire, elle aime en profiter lorsque la chose lui vient d’elle-même mais elle ne cherche pas à satisfaire cette envie de voir le sang couler. Enfin, pour finir, elle aime la nuit, le soir, se balader librement entre les branchages d’une forêt, lorsque la lune est haute, avancer parmi un petit bosquet d’arbres…oui, elle aime tout cela…
Déteste : Elle déteste être enfermer, une pièce trop petite pourrait la rendre folle de colère tant elle déteste cela mais finalement, elle en fait également une peur bien que devant cela elle reste relativement calme, ou du moins essaie d’afficher un certain calme, certes, elle y arrive mais si vous saviez la tempête qui se déchaînerait dans son esprit dans un tel moment alors vous auriez sut à quel point les apparences sont trompeuses. Elle a une sainte horreur des personnes qui se vantent de leurs faits, pour elle, une personne qui avoue ouvertement être un tueur ou une tueuse n’est autre qu’un ou une prétentieux ou prétentieuse et ne peut alors plus être considéré comme ce qu’il recherche à afficher, les actions doivent rester secrètes sinon cela peut devenir néfaste pour la suite, ainsi, mentir devient alors aisé puisque l’on ne relate pas ses actions et l’on ne peut alors pas se contre dire. Enfin, la vision des choses de Kara est relativement complexe c’est pourquoi il est inutile d’essayer de comprendre ce qu’elle pense et ressent : c’est tout simplement impossible.
Compagnon : Etant une amoureuse inconditionnelle des félins, il est aisé de comprendre que son compagnon en est un et d’ailleurs, il en est un rudement beau et majestueux. Il s’agit d’un magnifique tigre du nom de Shad, celui-ci mesure près de trois mètres vingt de long ce qui est remarquablement grand mais qui reste dans la moyenne bien évidemment, il mesure près d’un mètre au garrot, suffisamment grand d’ailleurs. Il a une fourrure de couleur paille clair à orange fauve rayée de noir. Le pelage est blanc sur la face interne des membres, le poitrail, la gorge ainsi que sur les joues, la mâchoire inférieure et le dessus des yeux. Ces derniers sont d’une remarquable couleur, l’iris est d’un doré remarquable, envoûtant, magnifique, reflet d’une âme de prédateur non apprivoisé et il est remarquable qu’il n’accompagne Kara que par simple envie, en cas contraire il serait déjà repartit depuis bien longtemps.

Sa plus grande phobie : Comme indiqué dans ce qu’elle déteste, la jeune fille a une peur bleue d’être enfermée dans un endroit clos c’est pourquoi à la simple vue d’une cage elle pourrait tout bêtement défaillir et être inconsciente, l’enfermer dans ce genre d’endroit pourrait conduire à deux solutions. La première et la meilleure pour l’origine de cet enfermement serait la mort de la jeune femme, dans la seconde solution, moins agréable pour l’auteur de cette séquestration serait tout bonnement la mort car si jamais elle venait à en réchapper et à se sauver, cette personne risquerait d’être victime d’une mort affreusement longue et douloureuse car étant également entraînée pour la torture, elle sait s’y prendre pour maintenir son petit « sujet » sur le fil entre la vie et la mort et je puis dire qu’il vaut mieux ne pas en être victime. Ainsi donc, une pièce close, trop petite à son goût pourrait très vite finir par la rendre folle de terreur bien qu’elle tente, avec succès, de peindre sur son visage un semblant de sérénité qui peut généralement décontenancer une personne pensant l’effrayer en l’y enfermant. Un quelconque ennemi pourrait avoir l’idée de l’enfermer simplement pour lui faire du mal mais voir qu’elle est calme pourrait mener à un certain questionnement : est-elle réellement claustrophobe ?
Son plus grand désir : On pourrait simplement dire que niveau désir, elle en possède deux, à vrai dire mais disons que l’un d’entre eux est assez secret c’est pourquoi je ne vous le révélerait pas pour ma propre survie d’ailleurs. Enfin, pour tout dire, son plus grand désir, mise à part l’autre, a un rapport direct avec ce qu’elle aime et ce qu’elle aime faire, vous l’aurez sûrement comprit : son désir concerne la nature. Cette jeune femme rêve constamment du jour où la mère nature reprendrait ses droits sur la terre. Il s’agit d’un rêve un petit peu égoïste dans le sens humanoïde du terme mais si l’on regarde plus en profondeur on remarquerait que ce serait plus dans le sens des animaux et principalement des félins. Elle rêve qu’un jour elle ne verrait plus d’humain et vivrait parmi la nature, les forêts, les plaines et autres éléments en la seule compagnie des animaux. Bon évidemment, cela ne la gênerait pas que quelques humains survivent mais par pitié : les moins stupides. Pas ceux qui voudraient tout reconstruire, auquel cas elle serait contrainte de les tuer et elle n’hésiterait pas à le faire. Cependant elle reste relativement lucide : son rêve ne se réalisera sûrement jamais.
Son point faible : Son point faible, à bien des égards Kara reste une jeune fille assez mystérieuse et dont l’approche reste compliquée puisque même si elle reste « agréable »lorsqu’on lui adresse la parole, on obtient ce que l’on souhaite tant que cela ne a gêne pas. Ainsi, trouver son point faible fut presque mission impossible, rapide et toujours en alerte, la surprendre reste quelque chose d’inimaginable et qui n’est, jusqu’à ce jour, jamais arrivé. Depuis qu’elle est enfant, le mot vulnérable lui reste inconnu tandis que l’innocence sensée appartenir aux enfants, elle ne fit que l’effleurer. Sa peur pourrait être un point faible mais c’est relativement imprécis c’est pourquoi je vais vous révéler son autre point faible. En effet cette jeune femme est aveugle d’un œil, le gauche plus précisément à cause d’un mauvais coup lorsqu’elle tenta de tuer son maître et qu’elle y parvint d’ailleurs. Blessée, il en résulte un handicap permanent et valable jusqu’à sa mort ainsi qu’une remarquable cicatrice lui barrant l’œil. Ainsi, il est probablement possible de la surprendre en usant de cette infime connaissance, à savoir qu’elle ne tente pas de cacher ce handicap, parfois l’avouant ouvertement à l’aide d’un bandage qu’elle glisse sur son œil, elle montre alors que ce petit « problème » ne l’atteint pas et que quiconque la trouvant faible pouvait aussitôt en découdre et périr. Pour elle, il ne s’agit que d’un petit problème qu’elle a depuis longtemps réglé car, comme on le dit, la perte d’un sens affûte remarquablement les autres, elle puisa dans cela et banda ses yeux pendant un an, aiguisant ses autres sens. Pendant un an elle tua les yeux fermés, vulnérable aux yeux des autres, mortelle en vérité.
Son point fort : Cette adolescente reste une jeune fille redoutable malgré son handicap, en effet, malgré sa vue réduite de moitié, elle reste difficile à surprendre ce qui n’est pas le cas de tout le monde surtout lorsque l’on connaît son véritable point fort. Non seulement elle possède une maîtrise des arts martiaux particulièrement forte mais en plus elle est d’une discrétion fascinante. En effet, malgré les apparences qu’elle affiche et la beauté de ses traits elle pourrait aisément se glisser dans un camp ennemi sans faire ressentir ne serait-ce que sa présence, on pourrait l’avoir que l’on ne s’en rendrait pas compte. Ce n’est pas pour rien qu’elle est une espionne après tout ainsi qu’une assassin redoutable et particulièrement efficace. Non seulement cette discrétion s’applique aux humains mais en plus, en pleine nature, se camoufler est devenu une seconde nature pour la jeune femme. Ainsi, elle pourrait se tapir dans les herbes sans problèmes, n’apparaître aux yeux des autres comme n’étant qu’un tapis d’herbe banal et pourtant, arme en main, elle tuera aussi vite et efficacement qu’un fauve. La discrétion est donc un point fort pour cette jeune demoiselle qui est d’une force redoutable.
Son Pouvoir : Cette jeune fille du nom de Kara est une adepte des félins, les vénère, les adore et les idolâtre presque. Lorsqu’elle découvrit son pouvoir une joie immense s’empara de son cœur, elle se trouvait alors en compagnie de son maître, celui-ci lui enseignait la concentration. Assise au milieu des fougères, en tailleurs et les yeux fermés elle faisait le vide dans son esprit lorsqu’une image s’imposa à elle, un magnifique tigre au pelage d’un blanc de neige tigré d’un noir profond et envoûtant. Interloqué, elle fit en sorte de s’approcher un peu plus de cette image mentale plus qu’intrigante et pourtant si belle. Elle s’approcha si près qu’une sorte de lumière plus obscure qu’autre chose sembla illuminer son esprit, la lumière l’enveloppa et un hurlement strident retentit près d’elle. Son assassin de maître reculait, effrayé et horrifié à la fois : il la regardait avec des yeux qui la firent frissonner de peur. Elle se retourna brutalement et remarqua quelque chose : le sol était anormalement proche d’elle, comme si elle était plus petite. Elle leva une main pour regarder, ce qu’elle vit la surpris et la réjouit plus qu’autre chose : à la place de ses cinq doigts à la peau pâle se trouvait une énorme patte blanche armée de griffes acérées qu’elle s’amusa à rétracté et à contracter. Elle s’était changée en tigre ! Souriant à pleins crocs elle se tourna vers son maître qui s’était doucement approchée d’elle, elle parvint à prendre la parole : elle conservait certain don offert aux humains comme la parole et elle gardait sa conscience humaine. Le seul hic c’était qu’elle se sentait poussée vers la forêt, une sorte d’instant qui l’attirait vers cet élément tant adoré. Elle tenta de reprendre son apparence humaine et y parvint après un long moment. Après quelques années, elle parvint à maîtriser ce pouvoir qu’elle aimait tant. Au bout d’un certain temps, elle parvint même à le maîtriser et à le maintenir de moitié, ainsi, elle pouvait rester debout avec sa silhouette élancée et humaine mais avait des poils, des pattes à la place des pieds et des mains, des crocs et des griffes, des oreilles et une queue de chat ainsi que des yeux aux pupilles verticales.
Ses capacités : Si la dissimulation est un don naturel qu’elle arbore habituellement et sans s’en rendre compte, d’autres capacités semble s’être accrues. Sa vue est plus perçante, bien plus puissante que celle d’une humaine normale, bien plus forte que celle d’un félin ce qui n’était pas peu dire. Elle voit aussi bien de nuit que de jour c’est donc un avantage certain surtout lorsqu’on s’appel Kara et que l’on a pour profession celle d’un assassin et d’une espionne. Elle possède également une ouïe extrêmement fine, largement supérieur à celle d’un simple félin, une capacité qui la réjouit largement puisque cela la contente bien. Elle est donc très difficile à surprendre et extrêmement compliquée à approcher sans se faire remarquer. Niveau capacité physique et sportive elle possède une rapidité fascinante qui peut aller jusqu’à rattraper un guépard en pleine course et atteignant sa pointe de vitesse la plus grande : elle est donc extrêmement rapide et ce n’est pas peu dire. Pour la seconde capacité : Kara fait preuve d’un silence remarquable, elle est particulièrement silencieuse si bien que son approche ne peut être perçue que lorsque ses armes fendent la chair avec cette fureur qu’est la sienne. Elle est donc une espionne et une assassin d’une redoutable efficacité c’est pourquoi il vaut mieux ne pas s’attirer ses foudres car étrangement elle n’attaquera pas de suite, patientera un court instant pour faire en sorte que cette personne destinée à mourir ne rabaisse ses armes et c’est alors qu’elle frappe, révélant à son adversaire que baisser les armes lorsqu’on la provoque n’est sûrement pas une manière d’aborder la chose…

Physique : Kara est d’une beauté époustouflante mais généralement les gens semblent refroidis par ce petit signe particulier qu’elle affiche généralement sans en paraître troublée, en effet son œil gauche est bandée de manière discrète et pourtant les gens ne peuvent s’empêcher de le voir, cela ne la gêne en rien, au contraire semblerait-il, elle arbore fièrement ce petit symbole, ce petit souvenir douloureux qui montre qu’elle est celle qui est parvenu à tuer cet assassin tant redouté qu’était cet homme qui l’avait entraîné jusqu’à faire d’elle celle qui le tuera. Il est pourtant dommage que cette demoiselle dissimule cet œil selon quelques personnes, ils pensent que sans ce bandage, son charme serait probablement plus attractif, pour sa part elle préfère rester ainsi car elle n’est pas stupide. Si jamais elle faisait la stupide erreur que de retirer ce bandage, elle sait parfaitement que sa blessure, pourtant cicatrisée, serait alors infectée c’est pourquoi elle reste minutieuse sur l’entretient de cette blessure toujours douloureuse malgré le temps passé. Enfin bon, toujours est-il que son regard en envoûte plus d’un car la couleur surprenante de ces derniers est remarquable : un vert d’émeraude plus vert encore que la pierre précieuse elle-même, ils sont d’une profondeur insondable qui attise généralement la curiosité des uns et l’envie des autres. L’iris d’un noir profond semble attirer la lumière et l’enfermer, un noir envoûtant qui semble absorber la lumière, il s’agit là d’une sorte d’effet optique qui refroidis généralement les ardeurs des uns comme celui des autres. Les traits de son visage sont fins et régulier avec une légère impression de sauvagerie, ses traits ne représentent rien de tout cela mais il émane de son visage comme une impression de sauvagerie, comme si un véritable tigre se camouflait derrière ce visage magnifique et attirant, il s’agit d’une vérité à moitié vraie, c’est difficile à expliquer, certes, mains c’est ainsi. Vous comprendrez ne serait-ce qu’en posant votre regard sur elle qu’elle est indomptable, comparable à une cascade d’eau furieuse, rugissante et incontrôlable, cette petite est un animal sauvage qui est inutile d’essayer de dompter : c’est impossible car même si il lui arrive d’obéir, si un ordre ou une demande lui déplaît elle le fait ouvertement savoir et ce, sans retenue. De chaque côté de ses yeux se trouvent de longues mèches d’un noir de jais qui encadrent son visage avec élégance, quelques mèches glissant par moment devant son regard d’émeraude et le voilant par instant aux regards des autres sans pour autant l’empêcher de voir quoi que ce fut. En effet elle possède des cheveux d’un noir de jais, longs et raides ils coulent jusqu’en bas de son dos et plus bas encore lorsqu’elle les relâche car elle a prit l’habitude de les attacher en une queue montante, c’est visiblement inutile car même ainsi, ils descendent bien bas je vous laisse donc imaginer leur véritable longueur lorsqu’ils ne sont pas retenus par une quelconque attache. La longueur de ses mèches reste inconnue car malgré l’apparente attention qu’elle porte à son apparence, l’adolescente semble couper ses cheveux à l’arrache, par exemple si l’envie lui prenait on a l’impression qu’elle serait capable d’attraper un couteau et de couper telle ou telle mèche, juste comme cela, sans réelle raison apparente. La vérité sur ces longueurs diverses et variées reste mystérieuse car jamais personne ne l’a vu se couper les cheveux ou autre. Un autre mystère à rajouter aux autres. Le plus étrange pour tout dire ne se situe pas tellement là, mise à part le bandage de ses yeux, autre chose attire les regards intrigués des uns et des autres car, en effet, elle possède un tout autre signe particulier. Si à ses oreilles elle possède des anneaux de métal à chacune de ses oreilles en temps que percings mais, en plus deux autres anneaux sont attachés à ses oreilles, à ses lobes, deux anneaux, eux aussi de métal mais des anneaux moins gros que ses percings, l’un de ses deux anneaux est attaché à une chaîne en argent qui rejoint son autre oreille à laquelle deux autres anneaux, ainsi, une chaînes longe son visage. Il est cependant temps de préciser que ses anneaux sont extrêmement fragiles, c’est exprès puisqu’en cas d’attaque, si l’adversaire pense la blesser en attrapant cette chaîne, il ne parviendra qu’à provoquer sa colère. Les anneaux se séparent et ne blessent pas ses oreilles cependant, une fois l’anneau dans cet état il ne reste plus à l’adolescent qu’à reforger un anneau ce qui prend un certain temps d’où l’origine de sa colère. Ensuite, Kara est de taille moyenne, approchant les un mètres soixante neuf voir peut-être les un mètres soixante dix mais c’est incertain, sa taille reste uniquement approximative, ainsi donc un mètre soixante-neuf ou soixante dix pour une approximation de quarante neuf kilogrammes, pas grand chose pour tout dire. La silhouette de la jeune femme reste élancée, élégante et d’une grâce sans pareille car malgré son visage fermé et presque glacial, elle avance avec l’élégance d’une danseuse, ses cheveux voletant légèrement dans son dos au rythme de ses pas. Ses formes sont assez généreuses c’est pourquoi l’œil de telle ou telle personne hésitera longuement sur l’endroit où se poser car, tant son visage est beau et élégant que ses formes attirent également l’œil, une hésitation qui pourrait être fatale si vous êtes la cible qu’elle souhaite atteindre. Ses jambes fines et élégantes sont généralement couverte d’un pantalon ample, elle en change souvent c’est pourquoi je ne peux vous donner la réelle nature de ce pantalon puisqu’elle peut passer au cuir à la toile sans en sembler gênée. Pantalon ample pour le bas, elle possède des chaussures généralement diverses passant d’une paire de chaussure à talons élégantes et correspondant à son apparence raffinée tandis qu’à d’autre elle pourrait se balader simplement à pieds nus : cela ne la dérange en rien. Enfin, pour le haut, Kara arbore généralement un haut simple moulant son corps et sa poitrine, collant à son ventre plat et finement musclé. Sa peau est assez dorée, ayant passé de nombreuses journées au soleil et exposée aux rayons du soleil, elle ne peut donc pas rester blanche comme neige, elle arbore donc un teint généralement doré mais finement coloré, une coloration que l’on voit mais qui ne choque pas énormément. Elle possède des lèvres fines et claires ainsi qu’un nez parfaitement normal…
Signe particulier : Elle possède un tout autre signe particulier. Si à ses oreilles elle possède des anneaux de métal à chacune de ses oreilles en temps que percings mais, en plus deux autres anneaux sont attachés à ses oreilles, à ses lobes, deux anneaux, eux aussi de métal mais des anneaux moins gros que ses percings, l’un de ses deux anneaux est attaché à une chaîne en argent qui rejoint son autre oreille à laquelle deux autres anneaux, ainsi, une chaînes longe son visage. Il est cependant temps de préciser que ses anneaux sont extrêmement fragiles, c’est exprès puisqu’en cas d’attaque, si l’adversaire pense la blesser en attrapant cette chaîne, il ne parviendra qu’à provoquer sa colère. Les anneaux se séparent et ne blessent pas ses oreilles cependant, une fois l’anneau dans cet état il ne reste plus à l’adolescent qu’à reforger un anneau ce qui prend un certain temps d’où l’origine de sa colère. Autre signe particulier : son œil gauche est bandée de manière discrète et pourtant les gens ne peuvent s’empêcher de le voir, cela ne la gêne en rien, au contraire semblerait-il, elle arbore fièrement ce petit symbole, ce petit souvenir douloureux qui montre qu’elle est celle qui est parvenu à tuer cet assassin tant redouté qu’était cet homme qui l’avait entraîné jusqu’à faire d’elle celle qui le tuera. Il est pourtant dommage que cette demoiselle dissimule cet œil selon quelques personnes, ils pensent que sans ce bandage, son charme serait probablement plus attractif, pour sa part elle préfère rester ainsi car elle n’est pas stupide. Si jamais elle faisait la stupide erreur que de retirer ce bandage, elle sait parfaitement que sa blessure, pourtant cicatrisée, serait alors infectée c’est pourquoi elle reste minutieuse sur l’entretient de cette blessure toujours douloureuse malgré le temps passé.
Mental : Kara est du genre à rester calme, devant une situation gênante on ne verra apparaître sur son visage qu’une once d’indifférence car pour elle, la gêne n’existe pas. Ses émotions elle ne les cache pas, n’y voyant pas tellement une faiblesse ou quoi que ce soit, si un jour elle venait à ressentir de la peur son seul regret serait de le ressentir et alors elle affronterait ce sentiment dégoûtant. Ainsi, on ne verra que très rarement un éclat de colère passer dans son regard en dehors des situations exceptionnelles que je ne préfère pas citer. Ainsi, elle est calme et réfléchit, elle peut aussi bien rester assise pendant des heures voir des jours pour réfléchir à une manière de parvenir à ses fins comme elle pourrait tout aussi bien foncer dans le tas avec la seule envie de voir le sang couler et dégouliner sur le sol, venant recouvrir sa peau et ses mains. Pour elle il n’y a rien de mieux que cela, un peu de sang sur les mains, un peu d’écarlate sur le sol et sur les vêtements immaculés et la voilà heureuse pour un bout de temps. Loin d’apprécier la solitude, elle ne la déteste pas non plus, pour elle, solitude et compagnie signifie la même chose si ce n’est un peu plus de bruit et peut-être un peu plus de plaisir. Elle n’est pas asociale, ce n’est pas tellement le cas c’est juste qu’elle ne va pas vers les gens préférant rester dans son coin et attendre que quelqu’un vienne si tel est son besoin. Dans son petit crâne, elle pense qu’elle n’a besoin de personne si ce n’est de Shad, son compagnon à quatre pattes et à poils, son tigre adoré pour qui elle serait capable des choses les plus affreuses. Il ne faut cependant pas croire que cet animal est un point faible à exploiter car en cas de menace qui pourrait peser sur ce dernier, la colère qu’elle ressent rarement pourrait se métamorphoser en une véritable rage et haine. Penser qu’elle pourrait se plier aux quatre volontés de la personne ayant réussit à capturer son tigre est une grave erreur à ne pas commettre car le résultat serait alors plus qu’horrifiant à voir. Kara est une jeune fille pour qui l’honneur et le respect est important, ce n’est pas pour autant que l’on peut lui demander tout est n’importe quoi, en cas d’affront ou d’ordre qu’elle trouverait superflu ou totalement dénigré d’intérêt, elle ouvrerait sa bouche et exprimerait sans peur son point de vue. Si une raison valable lui est offerte il est probable qu’elle finisse par accepter, mais cela n’en reste pas moins sûre. Même si elle ne va pas vers les gens pour parler, cette jeune femme n’hésite pas à aller les voir si cela peut l’aider en quelque chose, par exemple si elle venait à ne pas comprendre un ordre elle n’hésiterait pas à demander une quelconque explication. En temps normal il est vrai qu’elle reste dans son coin mais en cas de besoin elle sait se tirer de son mutisme. Même si elle peut paraître froide le plus souvent, Kara peut être d’une incroyable douceur malgré sa nature. On pourrait presque dire qu’elle est lunatique néanmoins ce n’est pas sûr non plus, il arrive, en effet, que malgré son air glacial et froid, elle vienne un jour vers vous et vous prenne dans ses bras sans aucunes raisons apparentes. Cela aurait un sens pour elle mais pas pour vous et selon sa manière d’être elle ne vous expliquera pas ce revirement soudain car pour elle cela n’est pas nécessaire, si vous deviez comprendre vous devriez le comprendre par vous même. Cependant une chose est sûre lorsque l’on parle de cette jeune personne : si jamais une personne venait à la mettre en colère ou à s’attirer ses foudres, la chose la plus sûre que cette personne pourrait faire serait de se cacher au fin fond de l’univers si elle ne veut pas mourir dans d’atroces souffrances car elle traquera sa proie jusqu’à ce qu’elle la débusque et la tue. Elle est tenace et patiente, tel un félin elle attendra l’opportunité et la saisira entre ses griffes d’acier, et la tiendra fermement jusqu’à ce que sa vengeance soit calmée et assouvie. Je ne vois pas quoi rajouter de plus, si je devais dire quelque chose pour conclure cette description je ne dirais qu’une seule et unique chose, une phrase qui réunit parfaitement tout ce qui a été dit précédemment : prenez garde, car les griffes de la Rose de Sang sont aussi tranchantes que la faux de la mort…elles sont la mort.
Autres :

Histoire : Dehors les lumières brillaient de milles feux, entre le rouge et le verre, le jaune et l’orange, tout semblait illuminé dans la ville car aujourd’hui était un jour particulier, c’était le jour de Noël. Les gens riaient dehors tandis que la neige tombait tout doucement, le froid se faisait glacial et le ciel était d’un noir d’encre très profonds et les quelques nuages qui se risquaient dans cet espace noirâtre passaient pour gris tandis que la lune trônait tout en haut, entourée de ses fidèles étoiles. Elle jetait un regard vers un certain endroit d’où jaillissait des cris de nouveau né. Un père et une mère étaient penchés sur un nourrisson qui hurlait à la noirceur de la nuit sa vie naissante. Finalement, l’enfant cessa de crier et jeta un regard sur ses parents, ses géniteurs, ceux qui étaient censés la nourrire, l’élever, l’aimer et la choyer jusqu’à ce que mort s’en suive. Leur regard brillait d’amour, c’était certain, elle allait vivre une vie heureuse. Elle ferma les yeux, l’esprit serein, devenant soudainement une enfant calme et paisible jusqu’à ce qu’une sorte de gargouillis vienne à la surprendre dans son sommeil léger. Elle ouvrit ses yeux d’un étonnant vert émeraude et fut surpris de découvrir le visage de son paternel étrangement blanc et tordu dans une expression de pure douleur. L’enfant ne hurla pas, regardant la scène avec curiosité, quel était cette couleur qui parcourait à présent le corps de son père en de nombreux filets ? Finalement, celui-ci s’affaissa pour finalement, puis s’agenouilla et finalement tomba, face contre terre. Alors apparut une haute silhouette sombre. Un homme se tenait là, son corps remplaçant celui de son père tandis que la femme qui la retenait ce mettait à hurler de terreur. L’enfant fut ballottée jusqu’à ce que le calme se refit et que sa peau dite de pêche se teinte d’écarlate. Contrairement à ce que pensait ce meurtrier, l’enfant ne pleura pas, restant là et jetant un certain regard dans sa direction.

Peu de temps plus tard, deux cadavres étaient retrouvés, un homme et une femme…l’enfant avait disparu tandis qu’une ombre se faufilait ici et là, tenant quelque chose au creux de son bras. L’emmenant avec lui, il attendit qu’elle ai l’âge de se tenir debout et de marcher pour en faire une seconde. Il lui enseigna le combat, le maniement des armes, c’est ainsi que depuis ses deux ans, elle sait où frapper, quand frapper et comment frapper. Le calme dont elle avait fait preuve lors du meurtre de ses parents révéla une fillette d’un calme surprenant face à toute les situations, elle devint ainsi une excellente tueuse. Il lui enseigna également l’art de l’espionnage, passer inaperçu est un art qu’elle n’oubliera jamais puisqu’il fait entièrement partit d’elle, tout comme le meurtre et le sang. Jeune fille prudente et silencieux, Kara était aussi belle que redoutable, il découvrit bientôt la méthode de tuerie de sa jeune élève. Elle passa trois jours et trois nuits à se confectionner ses armes actuelles, ces griffes mortelles et tranchantes. Lorsqu’elle ressortit de la cage, le visage roussi et des cernes sous les yeux, il ne put s’empêcher de remarquer les armes qu’elle s’était créée, des armes à son image : magnifique mais redoutables. Un sourire étira ses lèvres lorsqu’il comprit que son élève n’était plus vraiment son élève, il avait trouvé là son égal.

Au bout d’une bonne dizaine d’année, lorsqu’elle en eut presque dix huit, la jeune fille devint indépendante, tuant sans qu’il ne lui demande, espionnant à sa guise lorsqu’elle le souhaitait et si elle le souhaitait. Indécelable tel le vent, mortelle telle la mort, rapide telle l’ombre elle est devenu une légende vivante. Celle de la Rose de Sang. Puis, finalement, vint l’heure de se tester et pour elle, une manière et une seule permettait qu’elle ne sache réellement si elle était forte : tuer son maître. Portant ses armes qu’elle ne quittait plus jamais depuis leur confection, l’adolescente se tenait droite, face à cet homme qui fut son père et son maître. Malgré son jeune âge, elle se souvient encore de l’épisode de la mort de ses parents et malgré tout elle ne pouvait en tenir rigueur à cette personne. S’engagea alors un combat, des traînées de feu se dessinaient sur les corps des combattants jusqu’à ce qu’ils se séparèrent, essoufflés. Un sourire effleura leur deux visage puis ils s’élancèrent. Les griffes de la Rose tranchèrent, la lame du maître siffla et deux blessures apparurent. Une gerbe de sang jaillit de la poitrine de l’homme, s’échappant de quatre plaies béantes qui parcouraient tout son corps, de son épaule gauche à sa hanche droite. D’autres tâches de sang vinrent tapisser le sol tandis qu’une autre plaie venait à apparaître sur le visage de la jeune fille. Une cicatrice qui resterait à jamais. Le sang coulait le long de sa joue tandis que son maître s’étalait sur le sol dans un bruit mat. Respectueuse, elle s’agenouilla près de lui, posant une main sur les plaies de son corps, pressant pour apaiser un petit peu la douleur car elle touchait certains point qui anesthésiaient la douleur, son autre main se posa sur le front de l’homme, retirant les mèches collées par la sueur sur son front. Il leva ses yeux vers elle tandis qu’avec un sourire triomphant elle lui signalait sa supériorité. Ce même sourire étira ses lèvres à lui tandis qu’il lui demanda une chose, une seule. Tandis qu’elle le sentait faiblir, elle acquiesça puis se pencha doucement vers lui et l’embrassa. Elle posa ses lèvres contre les siennes et recueillit, comme il le lui avait demandé, son dernier souffle.

Lorsqu’elle se retira, il était déjà mort. Se levant alors, elle déchira la chemise du corps et entoura son œil de ce bandage improvisé. Elle se rendit dans leur habitation puis elle se fit un sac à dos léger ne contenant rien de plus qu’une chemise, une bouteille de parfum semblerait-il et quelques autres choses. Depuis ce moment là, elle dort paisiblement, tenant dans ses bras cette chemise blanche dont le parfum lui rappel ses moments passés avec cet homme, une sorte de doudou qu’il vaut mieux ne pas toucher au risque de le payer de sa vie…

Hey, bienvenue ! (sa le fait une fiche pareille à 10 heures >.<)
Bienvenue parmis nous et fiche validée évidemment ^^.
Bon jeu.