Tatsu Aya, Le Dragon (mi démone, mi Humaine)

Nom : Tatsu
Prénom : Ayamatsu mais elle préfère Aya
Surnom : Le Dragon
Age et date de naissance : 18 ans lors d'un 26 octobre.
Sexe et sexualité : De sexe féminin il semblerait qu'elle soit Hétérosexuelle.

Famille : Pfff, le père qui boit, la mère qui s’en prend plein la figure, la famille elle l’a vite oubliée sauf sa soeur...
Métier : Tueuse et assassin.
Arme : Ses chaînes ainsi que quelques poignards dissimulés ici et là.

Hobbies : Observer le ciel nocturne la nuit.
Aime : Sa petite soeur adorée, le ciel nocturne, le sang, le meurtre et son compagnon animal.
Déteste : Ceux qui font chier leur monde et ceux qui se dressent devant son chemin.
Compagnon : Un dragon du om de Ryuu, celui-ci n'est que rarement sous sa véritable forme. En vérité, Ryuu est une antiquité compliquée qu'elle parvient cependant à manipuler grâce à son pouvoir. En effet, ce dernier sous sa forme la plus commune est en réalité un collier. Un dragon en acier noir qui entour son cou, collant à la peau de celui-ci dont les yeux sont deux morceaux d'argents que l'on pourrait croire liquide tant il est lumineux. Cette antiquitée est très connue par le monde pour être en vérité une chose très puissane et extrêmement difficile à manipuler. Elle peut le libérer à son aise rien que par la force de sa pensée, alors il devient un dragon dont elle peut contrôler la taille. Il peut donc être aussi grand qu'un immeuble ou aussi petit qu'une souris. Ils communiquent ensemble par la pensée...

Sa plus grande phobie : Elle a une peur bleue des...araignées ^^".
Son plus grand désir : Ne plus ressentir ce vide interne.
Son point faible : Sa folie intérieure qui peut la prendre d'un instant à l'autre.
Son point fort : La maîtrise de son corps lorsqu'elle n'est pas atteinte de sa folie sinon, son point fort peut être en réalité sa rapidité extrême.
Ses Pouvoirs (deux ou trois maximum) : Elle peut donner à vie à toute sorte de chose. Ainsi donc un tigre représenté sur un déssin, peut de son seul regard, devenir un tigre véritable. Une statue peut également prendre vie selon son contrôle peu importe sa taille néanmoins plus l'objet est grand et précis plus la demande d'énergie est grande c'est pourquoi elle reste prudente. Ensuite, sa maîtrise du collier de son dragon est un pouvoir unique qu'elle est la seule à posseder. Enfin, elle possède une vitesse fascinante, à vrai dire vitesse et endurance. Elle dépasse de loin le guépard et plus encore la vitesse d'une voiture mais attention, l'énergie demandé est plus importante en fonction de la vitesse utilisée.

Physique : D’une taille respectable qui se détermine donc d’un mètre soixante quinze peut-être même soixante-dix sept, Aya est donc plutôt grande selon certains critères, évidemment elle n’est pas la plus grande non plus mais il faut bien avouer qu’elle n’est pas petite non plus. N’étant pas plus grosse que grande elle pèse un peu moins de cinquante kilos, peut-être pèse-t-elle quarante-huit ou quarante-sept kilos, ce qui n’est pas bien gros, même assez mince. Ses cheveux sont d’une couleur assez particulière : rouge foncés, généralement on opte pour le rouge bien clair pour que cela flash mais elle reste dans le sobre malgré tout, malgré son caractère également. Entre longs et mi-longs, ces derniers cascadent librement sur ses épaules et un plus bas, en réalité, ils sont longs et tombent jusqu’au milieu de son dos et deux mèches sur le devant sont coupées pour qu’elles touchent ses épaules mais ne glissent pas devant ses yeux mais plus sur le côté de son visage. Seule, une mèche, tombe devant ses yeux et cela ne semble la gêner en rien car c’est fait exprès, on a souvent l’impression qu’elle coupe ses cheveux elle-même, en gros, il y a des tailles différentes et c’est assez amusant, d’ailleurs cela lui va parfaitement bien. Ses yeux sont d’un marron plutôt étrange car la couleur rejoins bizarrement celle de ses cheveux ainsi donc, la couleur des cheveux et des yeux sont identiques. Son visage aux traits fins et réguliers et assez attirant car elle est très provocatrice avec les hommes, sa l’amuse de voir les visages se tourner sur son passage. Elle est généralement vêtue d’une casquette noir avec une tête de mort sur le devant, d’un jean moulant noir foncé et d’un mini haut noir qui dévoile son abdomen ou plutôt ses abdominaux finement bien dessinés. Ce qui est également assez étonnant chez elle c’est une sorte de bracelet de fer qui ressemble à des chaînes, d’ailleurs une chaîne y est attachée et reliée à un autre bracelet qu’elle porte au même poignet : le poignet droit. Autour de ses hanches, une ceinture en cuire noir lardée de piques en acier, retient son pantalon qui n’en a pas besoin. Elle est ainsi vêtue souvent et généralement elle porte d’autre bracelet dans le même genre que sa ceinture.

Signe particulier : Elle possède des percings sur toute son oreille gauche. Elle a également un dragon chinois s’enroulant tout autour de sa cheville droite, ce tatouage a un rapport avec son nom de famille qui signifie dragon. Son collier est également un signe particulier non negligeable.
Mental : Jeune et pleine d’énergie, cette jeune fille s’amuse souvent, enfin, elle rigole bien et elle s’amuse. Elle vit la vie telle qu’elle lui vient, ainsi donc, elle est une amie que l’on pourrait qualifier de fidèle, gentille et à qui on pourrait se confier à tout instants car elle sera toujours présente pour ceux qu’elle apprécie et conte parmi ses proches. Ainsi donc, elle est également très protectrice, d’ailleurs sa sœur ne s’en rend peut-être pas compte mais chaque fois qu’un garçon la regarde de travers, ce garçon ne s’en remet pas avant un bout de temps et ne regardera plus jamais les filles de la même manière. Depuis un moment, en faite, depuis qu’on la surnomme le dragon, elle se bat et plutôt d’une bonne manière. Depuis qu’elles se sont enfuies de l’orphelinat Ayamatsu se bat dans les combats de rues pour obtenir ce qu’elle souhaite : de l’argent, bref, c’était sa seule manière de subvenir aux besoins de sa sœur et aux siens bien qu’elle passait ses intérêts après ceux de sa petite sœur à qui elle tien énormément malgré le dédain dont elle fait souvent preuve, d’ailleurs elle embête fréquemment sa cadette. Elle se comporte souvent de manière provocatrice rien que pour emmerder son monde et faire des hommes de simples chiens avides d’obéir aux moindres de ses ordres, bref, son charme lui sert souvent d’arme et elle n’hésite pas à le faire. Elle sait se battre à la manière des hommes et n’hésite pas non plus un seul instant à se mesurer à l’un d’eux pour défendre ses intérêts ou ceux de sa sœur. Elle n’est pas une jeune fille à ennuyer et nombreux sont ceux qui s’en sont rendus compte un peu trop tard car derrière ses allures de petite fille se cache un véritable dragon prêt à se battre et ce, à tout instants. Ensuite, il lui arrive de rechercher la solitude et de s’isoler du reste du monde en compagnie de son compagnon.
Autres : Son surnom n’est autre que celui du Dragon, le Dragon est connu parmi les habitants de la ville sous l’identité d’un tueur sanglant. Il s’agit, en vérité, d’une jeune fille qui, pour une raison qu’elle garde pour elle, peut passer d’un état à un autre et peut faire d’une ruelle bondée et bruyante de monde un silence mortuaire illustré par un véritable bain de sang. Personne ne connaît son identité, son pseudonyme pour la simple et bonne raison que ceux qui l’engage le font de manière discrète et de manière assez lisible pour l’adolescente. Elle a glissé une annonce dans le journal particulièrement bien tournée de manière à ce que l’on ne se doute de rien et que les plus intelligents y voient ce que c’est réellement : une invitation pour l’engager. Etant particulièrement efficace, discrète et très jeune pour ce travail, les gens l’apprécient pour ces qualités-ci, c’est pourquoi elle ne manque pas d’argent ni de rien à vrai dire.

Histoire : 10 lignes mini Il faisait nuit noire et comme d’habitude, la maison du numéro treize raisonne en coup de gueule qui retentissent à l’infinie dans la rue : ils ne prennent même pas la peine de fermer leur fenêtre. Des soupires passent les lèvres des voisins mais ils ne disent rien, le jour viendra où a police débarquera et fera un tour dans ses deux, le problème n’était pas dans le bruit occasionné c’était les deux gamines qui étaient obligées d’écouter ça, c’était vraiment irresponsables. Ecœurant et tous les habitants de cette rue s’insurgeaient devant cette irresponsabilité, une rancœur vint vite à naître dans le cœur des gens qui connaissaient cette histoire. Le temps passa et rapidement cela dégénéra lorsqu’un soir le père rentra bourré, pire que de d’habitude, une chose dont Aya et sa mère se rendirent compte à la vitesse de la lumière si bien que la grande sœur se dépêcha de vouloir rentrer sa sœur dans sa chambre… pour être avec elle, n’ayant que quelques minutes de plus qu’elle, elle était aussi vulnérable que sa sœur bien qu’un peu plus résistante. Ainsi, les éclats de voix raisonnèrent à nouveau dans le hall de la grande maison, elles n’avaient pas de chance mais vivaient sous un toit de riches. Bref, la nuit passa de la même manière que toutes les autres nuits…a un détail près. Ecoutant sur le sol de leur chambre les deux enfants écoutaient la dispute qui éclatait en bas et entendait chaque mot, chaque intonation et chaque coup qui venait claquer et raisonner sur le corps de leur mère. Lorsqu’un nouveau coup suivit d’un gémissement de douleur retentit, s’en fut trop pour l’une d’elle qui se leva et voulut rejoindre sa mère pour l’aider. Ayamatsu retint sa petite sœur mais une phrase lâchée par celle-ci la figea sur place, surprise et surtout vexée, l’enfant eut du mal à s’en remettre mais un cri de douleur remit ses idées en place à la vitesse d’un coup de fouet dans le dos. Elle dévala les escaliers et frappa son père pour qu’il recule et laisse sa sœur en paix, la surpris qui fut visible sur le visage émacié de son père fut de courte durée…comme le répit. La nuit fut plus longue que les autres…

L’un des voisins prit son courage à deux mains, son téléphone aussi et appela la police, celle-ci ne tarda pas à rappliquer, elle emmena le père et les trois autre, le paternel fut envoyé en prison pour une courte durée tandis que la mère fut placée en soins intensifs de l’hôpital, les deux enfants ne récoltèrent que quelques égratignures, Ayamatsu avait fait en sorte de protéger sa petite sœur et y était parvenue tant bien que mal. Elles furent par la suite placées dans des familles d’accueilles, le malheur les poursuivit longtemps après cette nuit là car chaque famille avait son lot d’étrangeté et de bizarrerie qui les marqua l’une comme l’autre, les années passèrent et à chaque année une nouvelle famille jusqu’à ce qu’elles soient placées dans un orphelinat, l’une avec l’autre. Comme toujours Aya conservait son attitude protectrice tandis qu’Alix devenait particulièrement maladroite car choquée dans son passé, elle avait toujours eut l’impression que ce qui s’était passé avec son père, sa mère et Aya avait été de sa faute ce qui était entièrement faux, naturellement. Peu de temps après leur entrée dans l’orphelinat, les deux jeunes filles s’enfuirent et rejoignirent les rues où Aya se débrouilla tant bien que mal pour trouver l’argent nécessaire à leur survie mutuelle. L’une se battait dans les combats de rues pour récolter de l’argent tandis que l’autre flânait dans les rues à faire toute sorte de chose.


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